• (Julliard, 2022)
    Peine des faunes
     
    Annie Lulu
    (Julliard, 2022)
    Peine des faunes
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    Peine des faunes

    Peine des Faunes nous plonge dans la vie quotidienne d’une famille tanzanienne en 1986. Rébecca élève huit enfants. Sa fille aînée, Maggie, rêve d’étudier à l’université. Mais Rébecca entre en lutte contre une compagnie pétrolière sur le point d’exproprier les habitants de son village natal. Son départ précipité fait brutalement basculer le destin de Maggie et pose la première pierre d’une tragédie familiale s’étirant sur cinq générations.
    De la Tanzanie des années quatre-vingt à l’Écosse contemporaine, Peine des Faunes est une ode poétique à la fragilité de la condition humaine et un urgent plaidoyer pour le vivant. Tissant ensemble les thématiques féministe et environnementale, Annie Lulu brosse une galerie de portraits de femmes inoubliables, dont le combat pour la liberté et la justice finira par être récompensé.

     

    Annie Lulu a publié La Mer Noire dans les Grands Lacs (Julliard, 2021), Prix Senghor et Peine des faunes (Julliard, 2022).

    * 2022 : invitée au Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines pour La Mer Noire dans les Grands Lacs
    * 2023 : sélection Prix Littéraire du 2e roman pour Peine des faunes

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    La Mer Noire dans les Grands Lacs
    La Mer Noire dans les Grands Lacs
    (Julliard, 2021)

    La Mer Noire dans les Grands Lacs

    Plus d'infos

    Nili est une jeune fille métisse née dans la Roumanie gangrenée par la dictature et meurtrie par le racisme. Elle grandit aux côtés d’une mère roumaine exigeante qui ignore la tendresse, et n’a jamais connu son père, un étudiant congolais renvoyé au Congo après sa naissance. Surmontant au fil des ans sa honte d’être différente, elle fuit à Paris pour ses études, puis au Congo à la recherche de ses racines africaines.

    D’une écriture riche et luxuriante, La Mer Noire dans les Grands Lacs est une quête, celle du père, celle de l’identité, celle de la liberté.

    Mon fils, depuis des semaines je n'avais plus qu'une seule idée en tête, aller au Congo. Voir ma grand-mère, rencontrer mon oncle, deviner mon père dans le visage de mes cousins et cousines. J'avais le goût de ce pays, la passion de ce pays, de tout ce qui rapportait de près ou de loin au Congo, comme une fièvre irrépressible et brutale. 

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